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Ostéopathie

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OSTÉOPATHIE CRANIENNE ET CRANIO-PLAGIO CÉPHALIE DU NOURRISSON

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+ TORTICOLIS DU NOUVEAU NÉ

Physiotherapy

OSTÉOPATHIE DE L 'ENFANT, ADULTE , FEMME ENCEINTE ( À PARTIR DU 3 ÈME MOIS DE GROSSESSE ) OU POST ACCOUCHEMENT,

DU SPORTIF DÉBUTANT OU CONFIRMÉ...

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SOINS D'OSTÉOPATHIE:

FACTURE MUTUELLE OU ASSURANCE SUR DEMANDE !

INFORMATIONS À L'INTENTION DE NOS PATIENTS

OSTÉOPATHIE & SPORT


Sport : l’ostéopathie pour la prévention et traitement

Tous les sportifs partagent les objectifs communs d’entretenir leur corps, d’optimiser leurs performances, de raccourcir le temps de récupération après l’effort, etc.


Le sportif débutant (ou occasionnel) est davantage sujet à des douleurs,

pathologies chroniques (tendinites, etc.) ou blessures.

 Avec les entraînements et les compétitions, le sportif régulier soumet son corps à de nouvelles épreuves, augmente ses performances et affine ses sensations physiques. Mais le moindre déséquilibre peut perturber sa mécanique corporelle, réduire ses performances comme ses sensations.

Si de plus en plus de fédérations, d’équipes et de manifestations sportives font appel à l’ostéopathie, c’est parce qu’elles ont reconnu l’apport spécifique de cette discipline aux côtés des médecins et kinésithérapeutes : repérer et traiter les dysfonctionnements musculosquelettiques générateurs de compensations puis de douleurs, et normaliser le système neuro-végétatif pour améliorer le confort et les

sensations.

– à titre préventif : avant de débuter (ou de se remettre) à un sport, une visite chez l’ostéopathe permet de s’assurer que tous les éléments du corps sont mobiles, capables de répondre aux sollicitations et d’améliorer leurs performances. Lorsqu’apparaissent de mauvaises sensations, ou pour préparer une compétition, elle régularise le système neuro-végétatif pour éviter le stress et retrouver le plaisir de l’activité physique.

– à titre curatif : en cas de tendinite, ou après une chute sans traumatisme, l’ostéopathie rééquilibre les muscles et articulations perturbés par des mouvements répétitifs ou un choc.

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Après un traumatisme, un accident musculaire ou articulaire, l’ostéopathie complémentaire et cohérente avec les autres types de soins potentialise les effets de ces derniers, favorise la récupération et accélère le retour à la pratique : son action sur le système vasculaire optimise le métabolisme, favorise l’apport d’oxygène et de nutriments aux muscles et leur permet de mieux évacuer les déchets (acide lactique et CO2).

Extrait du Guide du patient édité par ISOstéo Lyon en 2015 (http://www.isosteo.fr/)

OSTÉOPATHIE & MATERNITÉ

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Ostéopathie et maternité :                   

de la grossesse à l’accouchement

La maternité désigne l’état dans lequel se trouve la femme pendant la grossesse, l’accouchement et les suites.

C’est-à-dire une période de changements physiques et physiologiques, que l’ostéopathie peut contribuer à mieux aborder et à mieux vivre.

De la conception à l’accouchement, de nombreux troubles fonctionnels peuvent perturber la vie quotidienne des futures mamans, tandis que leur corps s’adapte progressivement à la croissance du bébé.


 Ã€ partir du deuxième trimestre, les contraintes posturales évoluent, entraînant un basculement du bassin vers l’avant, une augmentation des lordoses

lombaire et cervicale (susceptibles de provoquer douleurs rachidiennes ou céphalées), une difficulté de retour veineux des membres inférieurs et des ennuis digestifs ou veineux (hémorroïdes, constipation). Cette adaptation perturbe également le fonctionnement du système craniosacré, et peut s’accompagner de troubles du sommeil ou d’un affaiblissement de l’organisme.


L’usage de certains médicaments étant contre-indiqué, l’ostéopathie peuvent diminuer les troubles fonctionnels et redonner du confort à une femme enceinte, en agissant particulièrement les six derniers mois dans trois axes essentiels : mécanique (sur le squelette),

vasculaire (sur les zones de passage des vaisseaux et sur l’équilibre des pressions) et neurologique (système neuro-végétatif).

Avec la même attention à ces trois axes, un suivi ostéopathique après l’accouchement permet au corps de la jeune maman de se réadapter, de récupérer une bonne mobilité, et de faire disparaître les éventuelles douleurs ou tensions.

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En effet, les positions adoptées lors de l’accouchement, l’utilisation de forceps, ventouses ou spatules, le temps de travail, les forces exercées lors de l’expulsion peuvent modifier la position des structures osseuses, musculaires et ligamentaires au niveau du bassin et de la colonne vertébrale de la mère, entraînant des douleurs variées.

Il est à noter que la péridurale peut entraîner une perte de mobilité au niveau de la colonne vertébrale.

Les symptômes en découlant à plus ou moins long terme vont des douleurs lombaires à l’apparition de migraines et maux de tête.

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D’autres troubles musculo-squelettiques peuvent également apparaître chez les jeunes parents. Ils sont dus à l’allaitement et le port de l’enfant, la manipulation des poussettes, etc. Tous ces nouveaux mouvements peuvent paraître anodins, mais couplés à un manque de sommeil, ils créent très souvent des cervicalgies, dorsalgies, lombalgies, ou encore tendinites, syndrome du tunnel carpien…                                                                                                                                         Un traitement ostéopathique sera alors utile afin de remédier au plus vite à ses symptômes.

 Extrait du Guide du patient édité par ISOstéo Lyon en 2015 (http://www.isosteo.fr/)


OSTÉOPATHIE & ENFANTS



 La croissance des enfants peut être retardée ou modifiée à cause d’anciens traumatismes ou des compensations posturales. Ces problèmes se manifestant par des difficultés à s’asseoir, à marcher à quatre pattes, à marcher ou à courir.


Les troubles de la statique chez l’enfant : scolioses, lordoses ou cyphoses, sont en général le signe d’une mauvaise adaptation du corps à d’anciennes dysfonctions non prises en charge. Il sera alors indispensable que votre enfant consulte un ostéopathe pour ralentir et stopper le développement de ces types de pathologies qui pourront devenir handicapantes à l’âge adulte.

Les causes de ces dysfonctions peuvent être viscérales, traumatiques, crâniennes. A traiter.


En grandissant, un enfant acquiert des réflexes posturaux destinés à assurer son équilibre et la coordination de ses mouvements. Mais des blocages peuvent se manifester, soit dans son développement, soit à la suite d’incidents. D’où l’intérêt d’un contrôle régulier :

– notamment lors de la rentrée scolaire et avant le démarrage d’un sport.

– pour favoriser un développement harmonieux et prévenir d’éventuels déséquilibres.

L’ostéopathe peut utilement compléter le rôle du pédiatre, et selon les cas de l’orthopédiste, du podologue ou encore du dentiste :


• Dos : les douleurs du dos, fréquentes en période de croissance (mauvaises postures, charges lourdes, etc.), doivent être particulièrement surveillées.

• Orthodontie : la succion régulière du pouce ou d’une tétine peut entraîner une mauvaise occlusion dentaire, voire une déformation du palais que l’ostéopathe peut rééquilibrer si elle est détectée suffisamment tôt. La pose d’un appareil dentaire pourra produire des contraintes qui auront un effet sur les os du crâne avec de possibles effets secondaires

• Soulagement dans les pathologies ORL (sinusite, rhino-pharyngite, otite, etc.) : l’ostéopathe n’agit pas sur l’infection, mais libère les zones en contrainte. Dans le cas d’une sinusite, par exemple, il favorise un meilleur écoulement dans les fosses nasales permettant ainsi une meilleure ventilation.

• Inattention, troubles du comportement et du sommeil : par le biais de techniques crâniennes appropriées.

Toujours en collaboration avec le pédiatre de l’enfant.


À l’adolescence, la courbe de croissance s’accélère. En parallèle, les enfants subissent de nombreuses contraintes physiques : port d’un sac à dos lourd, activité sportive intense ou posture maintenue durant de longues heures à l’école. On peut alors voir apparaître des symptômes de scoliose, cyphose, des pieds plats ou creux, ou encore des douleurs articulaires.

L’ostéopathe prend aussi en charge les adolescents qui suivent un traitement orthodontique. En collaboration avec le dentiste et l’orthodontiste, l’ostéopathe cherchera alors à réduire les problèmes posturaux causés par une modification de l’occlusion du jeune patient. Dans cette prise en charge, les adolescents seront sujets à des tensions vertébrales importantes, des céphalées voir des migraines.

Extrait du Guide du patient édité par ISOstéo Lyon en2015 (http://www.isosteo.fr/)

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